moïra stories

En Grèce Antique, la moïra est la part de vie, de bonheur et de malheur, de fortune et d’infortune assignée à chaque individu par le Destin et que les dieux mêmes ne peuvent pas changer.

Il y a moi, Sarah.

Née à Tokyo, j’ai grandi à Paris, étudié à Montréal et à Quérétaro, puis exploré l’Asie et l’Australie.
J’ai toujours écrit : pour questionner ce qui m’entoure, capturer des histoires, garder une trace. Après plus de 7 ans en communication, j’ai choisi de quitter le monde de l’entreprise pour écrire un roman et suivre une formation de biographe.
C’est là que j’ai su : l’écriture serait mon métier.

Derrière moïra stories…

Femme souriante avec des cheveux longs et bouclés portant une chemise noire.

J’ai toujours été fascinée par les gens, les cultures, les trajectoires de vie. Écrire, c’est un moyen de perpétuer la mémoire, d’assurer sa transmission, mais aussi de comprendre les autres, de tisser du lien entre hier et demain.

Il y a quelques années, en discutant avec ma grand-mère de sa vie, j’ai réalisé combien d’histoires exceptionnelles se perdaient. Je m’intéressais aussi à la mémoire transgénérationnelle et son impact sur les générations.
C’est là que moïra stories est née, de ma passion pour l’écriture et les histoires de vie.

Pourquoi écrivaine privée ?

Écoute, partage et bienveillance.

Écrire un récit de vie, c’est avant tout une rencontre. Entre le narrateur, son entourage et l’écrivain.e.
Ce sont des moments de partage, parfois chargés d’émotions, que l’on revit ensemble pour mieux les retranscrire.

Mon approche

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moirastories@gmail.com.